Dino Buzzati

Une chronique décrit le papier qui s’accumule et qui représente la malédiction de l’écrivain. Une anecdote très poétique montre un homme qui jette ses lettres d’amour, ses poésies de jeunesse, et qui sous-entend qu’une lettre déchirée, c’est comme une femme en morceaux. D’autres encore soulignent les préoccupations écologiques de l’auteur et démontrent une fois de plus son avant-gardisme. Une nouvelle d’anticipation raconte qu’il y aura des gangs de vieux en 2008. Elle-même fait suite à une satire du jeunisme. Une autre encore relate l’échec d’un homme cherchant par tous les moyens à se faire accuser du crime parfait, mais qui ne parvient pas à être reconnu coupable car il a, dans sa jeunesse, sauvé un paraplégique.